CHAPITRE I : Différence entre versions
Ligne 10 : | Ligne 10 : | ||
'''La conséquence directe de ses idées reçues est de faire du salaire un pouvoir d’achat.''' Le salaire donne un pouvoir d’achat à la mesure du travail fourni.<br> | '''La conséquence directe de ses idées reçues est de faire du salaire un pouvoir d’achat.''' Le salaire donne un pouvoir d’achat à la mesure du travail fourni.<br> | ||
Cela implique deux dérives de pensée ; minorité sociale et contrepartie : | Cela implique deux dérives de pensée ; minorité sociale et contrepartie : | ||
− | *'''La minorité sociale''' renvoie à la définition classique du salarié : en échange de la subordination à un employeur qui assume le risque de la production, il a le droit à la sécurité de ses ressources. '''C’est un mineur social'''. {{A_FD|MinoritéSociale}} | + | *'''La minorité sociale''' renvoie à la définition classique du salarié : en échange de la subordination à un employeur qui assume le risque de la production, il a le droit à la sécurité de ses ressources. '''C’est un mineur social'''. |
+ | {{A_FD|MinoritéSociale}} | ||
Version actuelle en date du 5 octobre 2013 à 15:52
titre | Le salaire, du pouvoir d’achat au pouvoir économique | |
---|---|---|
resume | Il y a un déplacement à opérer dans le regard que nous portons sur le salaire. Les idées reçues sont qu’avec son salaire on doit pouvoir vivre et faire vivre ceux dont on a la charge, et que chacun doit être payé en à proportion de la pénibilité ou de la responsabilité de son travail.
| |
urldiscussion | Discussion:CHAPITRE I | |
Pages liées |
[[Catégorie:]]