Idées de modifications

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Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Pierro78 (discussion)21 novembre 2012 à 19:31

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Pierro78 (discussion)21 novembre 2012 à 19:39
 

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Pierro78 (discussion)21 novembre 2012 à 19:33

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)21 novembre 2012 à 20:02

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)21 novembre 2012 à 20:31

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Eliosys (discussion)22 novembre 2012 à 13:00

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 14:08

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 14:15

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Eliosys (discussion)22 novembre 2012 à 15:50

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 16:45

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 17:24
 

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Pierro78 (discussion)22 novembre 2012 à 17:30
Modifié par l’auteur
Dernière modification : 21 novembre 2012 à 14:36

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 17:47

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)22 novembre 2012 à 19:46

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)23 novembre 2012 à 19:24

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)24 novembre 2012 à 18:45

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Eliosys (discussion)27 novembre 2012 à 19:52

Paartie 1: Super.

Partie 2: Je trouve la citation de Rousseau compliqué et pas forcément utile. Le reste de cette partie est claire et donne envie de lire le reste, contrairement à cette citation. Partie 3: Il ne s'agit pas seulement de changer la Constitution, mais de se la réapproprier: ce serait bon de le répéter dans ce texte. «Nous devons devenir des citoyens» est trop impératif, en plus c'est souligné… Y a trop de trucs soulignés, c'est inutile. Au lieu de «Nous devons (…) obéir et vouloir» qui sonne "propagandiste" nous pourrions écrire: «Donnons nous les moyens d'écrire le contrat social (…)»

««alors les citoyens ne peuvent être libres que s'ils écrivent et souscrivent eux-mêmes et sans contrainte aux règles qui les régissent (par contrat social), à la loi des lois qui s'incarne en la constitution» La aussi, et pour le reste, inutile de souligner. Le «sans contrainte» est de trop, même dans une démocratie on est contraint de respecter les règles.

Il manque un texte pour expliquer très clairement et de façon synthétique le tirage au sort; c'est la pierre d'angle du système qu'on propose, et c'est le point qui apparait le plus farfelue et énigmatique quand on découvre les idées de Chouard. C'est le point qui risque de décrédibiliser toutes les autres bonnes idées, il faut construire ici une argumentation simple et puissante. Désolé, mais je n'ai pas de suggestion.

Partie 4: Je trouve définitivement mauvaise l'idée de s'appeler gentils virus. On porte une idée qui rencontrera des résistances, et les assaillants et les médias s'en donneront à cœur joie de faire des jeux de mots méprisants et décrédibilisant notre cause.

Est-ce qu'on ne ferme pas des portes en se définissant? Je veux bien, à la limite, m'identifier à cette cause, mais je n'ai pas envie d'être un GV. C'est un peu trop communautaire. «T'es un GV? Ah ouais, j'ai entendu parler de ces gens» «Ben non, je suis un gars qui aimerait voir l'avènement d'une vraie démocratie». Encore une fois, on sera trop facilement caricaturable si on se définie mal. Ce n'est pas tout à fait clair dans ma tête, mais je crois que définir les GV dans un paragraphe tout exprès, et de cette façon, est une mauvaise idée.


Partie 5: Je suis pas sûr qu'on soit en mesure d'«informer» le peuple, parce que le peuple ça fait beaucoup de monde déjà, et qu'en plus on a pas ce pouvoir. Par contre on est là pour diffuser l'idée, oui. Quant à «instruire», c'est très prétentieux, voir arrogant. Le reste est très bien.

Partie 6: «Seule une appropriation intime de chacun permettra le déclenchement d'une révolution spontanée !» Une appropriation de quoi? «Seule» ? Vraiment? Qui peut savoir?

Dans cette partie, seule la citation me plaît, c'est une excellente conclusion à elle seule, très juste et claire, pas moralisatrice. C'est ce qui restera en mémoire à la fin de cette lecture, je pense.

Catherine vergnaud (discussion)28 novembre 2012 à 14:54
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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