Définition de la souveraineté

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Dernière modification : 2 décembre 2012 à 18:41

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  • Cette définition doit être générale et pas spécifique à la démocratie
  • La souveraineté est un concept plus fort que celui de pouvoir. En effet la souveraineté ne se partage pas (Rousseau insiste sur ce point, voir ci-dessous), par contre le pouvoir (... de faire quelque chose) peut très bien se déléguer ou se partager.

Dans son livre Périclès (Payot 2005) à la page 70 Claude Mossé discute pourquoi les athéniens ont choisi Démo-cratie (souveraineté du Dèmos) et non Dém-archie (pouvoir du peuple), c'est pourquoi il n'est pas correct de traduire "démocratie" par "pouvoir du peuple" cela permet l'existence d'une délégation. Alors que la souveraineté ne permet cette délégation sous aucune forme.

Une définition possible (à travailler) serait :

la souveraineté sur une population est l'aptitude à émettre toute décision qui concernent cette population

Wikipédia :

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples.

Rousseau Le Contrat Social (1762) CHAPITRE XV DES DEPUTES OU REPRESENTANTS :

La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point: elle est la même, ou elle est autre; il n'y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi. Le peuple anglais pense être libre; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.WikiSource
Pierro78 (discussion)2 décembre 2012 à 18:23
  • Cette définition doit être générale et pas spécifique à la démocratie
  • La souveraineté est un concept plus fort que celui de pouvoir. En effet la souveraineté ne se partage pas (Rousseau insiste sur ce point, voir ci-dessous), par contre le pouvoir (... de faire quelque chose) peut très bien se déléguer ou se partager.

Dans son livre Périclès (Payot 2005) à la page 70 Claude Mossé discute pourquoi les athéniens ont choisi Démo-cratie (souveraineté du Dèmos) et non Dém-archie (pouvoir du peuple), c'est pourquoi il n'est pas correct de traduire "démocratie" par "pouvoir du peuple" cela permet l'existence d'une délégation. Alors que la souveraineté ne permet cette délégation sous aucune forme.

Une définition possible (à travailler) serait :

la souveraineté sur une population est l'aptitude à émettre toute décision qui concernent cette population

Wikipédia :

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples.

Rousseau Le Contrat Social (1762) CHAPITRE XV DES DEPUTES OU REPRESENTANTS :

La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point: elle est la même, ou elle est autre; il n'y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi. Le peuple anglais pense être libre; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.WikiSource
Hivesne (discussion)2 décembre 2012 à 18:42
  • Cette définition doit être générale et pas spécifique à la démocratie
  • La souveraineté est un concept plus fort que celui de pouvoir. En effet la souveraineté ne se partage pas (Rousseau insiste sur ce point, voir ci-dessous), par contre le pouvoir (... de faire quelque chose) peut très bien se déléguer ou se partager.

Dans son livre Périclès (Payot 2005) à la page 70 Claude Mossé discute pourquoi les athéniens ont choisi Démo-cratie (souveraineté du Dèmos) et non Dém-archie (pouvoir du peuple), c'est pourquoi il n'est pas correct de traduire "démocratie" par "pouvoir du peuple" cela permet l'existence d'une délégation. Alors que la souveraineté ne permet cette délégation sous aucune forme.

Une définition possible (à travailler) serait :

la souveraineté sur une population est l'aptitude à émettre toute décision qui concernent cette population

Wikipédia :

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples.

Rousseau Le Contrat Social (1762) CHAPITRE XV DES DEPUTES OU REPRESENTANTS :

La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point: elle est la même, ou elle est autre; il n'y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi. Le peuple anglais pense être libre; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.WikiSource
Catherine vergnaud (discussion)3 décembre 2012 à 17:24
  • Cette définition doit être générale et pas spécifique à la démocratie
  • La souveraineté est un concept plus fort que celui de pouvoir. En effet la souveraineté ne se partage pas (Rousseau insiste sur ce point, voir ci-dessous), par contre le pouvoir (... de faire quelque chose) peut très bien se déléguer ou se partager.

Dans son livre Périclès (Payot 2005) à la page 70 Claude Mossé discute pourquoi les athéniens ont choisi Démo-cratie (souveraineté du Dèmos) et non Dém-archie (pouvoir du peuple), c'est pourquoi il n'est pas correct de traduire "démocratie" par "pouvoir du peuple" cela permet l'existence d'une délégation. Alors que la souveraineté ne permet cette délégation sous aucune forme.

Une définition possible (à travailler) serait :

la souveraineté sur une population est l'aptitude à émettre toute décision qui concernent cette population

Wikipédia :

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples.

Rousseau Le Contrat Social (1762) CHAPITRE XV DES DEPUTES OU REPRESENTANTS :

La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point: elle est la même, ou elle est autre; il n'y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi. Le peuple anglais pense être libre; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.WikiSource
Pierro78 (discussion)3 décembre 2012 à 18:41
  • Cette définition doit être générale et pas spécifique à la démocratie
  • La souveraineté est un concept plus fort que celui de pouvoir. En effet la souveraineté ne se partage pas (Rousseau insiste sur ce point, voir ci-dessous), par contre le pouvoir (... de faire quelque chose) peut très bien se déléguer ou se partager.

Dans son livre Périclès (Payot 2005) à la page 70 Claude Mossé discute pourquoi les athéniens ont choisi Démo-cratie (souveraineté du Dèmos) et non Dém-archie (pouvoir du peuple), c'est pourquoi il n'est pas correct de traduire "démocratie" par "pouvoir du peuple" cela permet l'existence d'une délégation. Alors que la souveraineté ne permet cette délégation sous aucune forme.

Une définition possible (à travailler) serait :

la souveraineté sur une population est l'aptitude à émettre toute décision qui concernent cette population

Wikipédia :

La souveraineté (du latin médiéval superanus qui dérive du latin classique superus « supérieur » ; et du concept grec Basileus) désigne le droit exclusif d'exercer l'autorité politique (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une zone géographique ou un groupe de peuples.

Rousseau Le Contrat Social (1762) CHAPITRE XV DES DEPUTES OU REPRESENTANTS :

La souveraineté ne peut être représentée, par la même raison qu'elle ne peut être aliénée; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point: elle est la même, ou elle est autre; il n'y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle; ce n'est point une loi. Le peuple anglais pense être libre; il se trompe fort, il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement; sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.WikiSource
Catherine vergnaud (discussion)3 décembre 2012 à 19:06
 
 
 
 
 
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