Utopies realisables : Différence entre versions
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− | Dans « Utopies réalisables », écrit en 1974 et revu en 1999, Yona Friedman tente de construire une théorie objective et cohérente des organisations sociales. Pour lui, les utopies apparaissent comme des remèdes à une insatisfaction collective. Elles peuvent devenir réalisables si elles obtiennent un consentement collectif. | + | Dans « Utopies réalisables », écrit en 1974 et revu en 1999, [[wikipediafr:Yona Friedman]] tente de construire une théorie objective et cohérente des organisations sociales. Pour lui, les utopies apparaissent comme des remèdes à une insatisfaction collective. Elles peuvent devenir réalisables si elles obtiennent un consentement collectif. |
Yona Friedman s’attache plus particulièrement dans son livre aux « utopies sociales non paternalistes réalisables » qui sont, d’après lui, les formes d’organisations les plus stables et les plus réactives aux contraintes de l’environnement. Il introduit le concept important de « groupe critique », selon lequel, un groupe ne peut plus assurer entre ses membres une communication conforme à ses buts, lorsqu’il dépasse une certaine taille, ce qui rend impossible la réalisation de toute utopie « universaliste ». | Yona Friedman s’attache plus particulièrement dans son livre aux « utopies sociales non paternalistes réalisables » qui sont, d’après lui, les formes d’organisations les plus stables et les plus réactives aux contraintes de l’environnement. Il introduit le concept important de « groupe critique », selon lequel, un groupe ne peut plus assurer entre ses membres une communication conforme à ses buts, lorsqu’il dépasse une certaine taille, ce qui rend impossible la réalisation de toute utopie « universaliste ». |
Version actuelle en date du 11 avril 2014 à 22:42
Titre : | Utopies réalisables |
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Auteur(s) : | Yona Friedman |
Résumé Court : | ebook gratuit disponible sur http://www.esprit68.org/utopies.html
Yona Friedman s’attache plus particulièrement dans son livre aux « utopies sociales non paternalistes réalisables » qui sont, d’après lui, les formes d’organisations les plus stables et les plus réactives aux contraintes de l’environnement. Il introduit le concept important de « groupe critique », selon lequel, un groupe ne peut plus assurer entre ses membres une communication conforme à ses buts, lorsqu’il dépasse une certaine taille, ce qui rend impossible la réalisation de toute utopie « universaliste ». |
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