Version du 25 mars 2014 à 01:03

Le contenu des fenêtres développables se trouve ci-dessous - Ethique de Spinoza :

Dernier modifieur	Date modif	débat	N^o	Titre

Catherine vergnaud	25 mars 2014 18:27:20	[[débat	a	conatus
Article créé le 24 mars 2014 18:53:49 par Catherine vergnaud, détails et modification sur [[SpinozaEthIII6]]* - Débat sur : Discussion:SpinozaEthIII6* 'conatus' : "Chaque chose, autant qu’il est en elle, s’efforce de persévérer dans son être". Spinoza, Ethique, III, 6

Catherine vergnaud	25 mars 2014 18:28:20	[[débat	b	essence du conatus
Article créé le 24 mars 2014 22:51:19 par Catherine vergnaud, détails et modification sur [[SpinozaEthIII7]]* - Débat sur : Discussion:SpinozaEthIII7* essence du conatus' : "L'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être n'est rien de plus que l'essence actuelle de cette chose.". Spinoza, Ethique, III, 7

Catherine vergnaud	25 mars 2014 18:28:46	[[débat	c	désir
Article créé le 24 mars 2014 22:57:55 par Catherine vergnaud, détails et modification sur [[SpinozaEthIIIDefAffects1]]* - Débat sur : Discussion:SpinozaEthIIIDefAffects1* désir : "Le désir, c'est l'essence même de l'homme, en tant qu'elle est conçue comme déterminée à quelque action par une de ses affections quelconque.". Spinoza, Ethique, III, Définitions des affects, 1

Catherine vergnaud	25 mars 2014 18:29:08	[[débat	d	affect
Article créé le 24 mars 2014 23:47:13 par Catherine vergnaud, détails et modification sur [[SpinozaEthIIIDef3]]* - Débat sur : Discussion:SpinozaEthIIIDef3* affect : "J'entends pas affect les affections du corps par lesquelles sa puissance d'agir est accrue ou réduite, secondée ou réprimée, et en même temps que ces affections, leurs idées.". Spinoza, Ethique, III, Définition 3 - traduction de Robert Misrahi - Paris, PUF, "Philosophie d'aujourd'hui", 1990.

Catherine vergnaud	25 mars 2014 18:29:31	[[débat	e	mémoire
Article créé le 25 mars 2014 00:06:03 par Catherine vergnaud, détails et modification sur [[SpinozaEthII18]]* - Débat sur : Discussion:SpinozaEthII18* mémoire : "Si une fois le corps humain fut affecté simultanément par deux ou plusieurs corps, dès que l'esprit imaginera par la suite l'un d'entre eux, il se souviendra aussitôt des autres.". Spinoza, Ethique, II, 18

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